lundi 11 mars 2013

Le rappeur "Weld el 15" est recherché

Arrestation du cadreur et de la figurante du clip "El Bouliseya Kléb" du rappeur Weld El 15 et publication de photos dégradantes où ils portent une pancarte où sont inscrites toutes leurs données personnelles sur les pages de la police ce qui est illégal ! 

Le rappeur est activement recherché. 


Celui où les chanteurs sont traités comme des criminels et où les criminels jouissent d'une totale impunité.

Les termes utilisés sont violents mais est-ce une raison pour violer les droits de l'homme ?

Dans tous les pays du monde, des rappeurs ont été poursuivis par la justice pour avoir notamment porté atteinte à la police ou appelé au meurtre et incité à la violence (Ex: le morceau Nique La Police de NTM...)

C'est le propre du rap, qui est un chant contestataire né de l'horreur des rues des quartiers populaires, d'employer des termes crus, violents et de flirter avec les lignes rouges.

À aucun moment, ce genre d'affaires ne sont devenues des affaires personnelles pour les policiers. C'est du ressort de la justice et ce qu'ils encourent, c'est tout au plus une amende et une peine avec sursis. 

http://www.youtube.com/watch?v=6owW_Jv5ng4




samedi 16 février 2013

Katia Makdissi-Warren

Directrice artistique et compositeure



https://soundcloud.com/makdissiwarren

Katia étudie la composition à Québec et à Hambourg puis, les musiques arabe et syriaque à Beyrouth. Elle étudie et participe à des stages auprès de Michel Longtin, Franco Donatoni, Ennio Morricone, Manfred Stahnke et P. Louis Hage.

Compositrice innovatrice, Katia Makdissi-Warren, est spécialisée dans la rencontre des musiques du Moyen-Orient et de l’Occident. Dernièrement, cette compositrice signe les musiques des salles d’exposition multimédia de la plus haute tour Burj Khalifa de Dubaï.

Régulièrement radiodiffusées, ses compositions sont interprétées par différents ensembles occidentaux et orientaux, comme l’Orchestre symphonique de Québec, l’Orchestre national oriental de Beyrouth, Appassionata, l’Ensemble Contemporain de Montréal et l’Orchestre de chambre de l’Université McGill. Elle est la fondatrice et directrice artistique d’OktoEcho, ensemble spécialisé dans la rencontre des musiques du Moyen-Orient et de l’Occident. Comme chef d’orchestre, elle dirige notamment l’ensemble Erreur de type 27 de Québec et a dirigé la première saison du spectacle Les Misérables, présenté à Québec à l’été 2008. Lors du festival international de guitare à Québec, elle travaille comme chef assistante de Léo Brower. Cette artiste travaille également comme compositrice pour diverses compagnies de musique, de théâtre, de danse et de film; elle est d’ailleurs en nomination à quelques reprises pour le prix Bernard Bonnier (musique de théâtre) et au Gala des Masques.


Katia Makdissi-Warren, Artistic Director and Composer
Katia studied composition in Quebec City and Hamburg as well as Arabic and Syrian music in Beirut.  She holds a PhD in composition and is a graduate of Michel Longtin’s class.  She participated in composition workshops given by Franco Donatoni, Ennio Morricone, Manfred Stahnke and P. Hage.

Her compositions, regularly broadcast on radio, have been performed by Middle-Eastern and Western soloists as well as ensembles including the Orchestre symphonique de Québec, Beirut’s National Oriental Orchestra, Appassionata, Arraymusic and the Al-Madiyye ensemble.  In addition to composing and performing, she also conducts Quebec City’s modern music ensemble Erreur de Type 27  and is the guest conductor of the Consort contemporain de Québec.  In the summer of 2008, she helmed the orchestra of Quebec City’s Capitole production of Les Misérables.  She has also worked as Léo Brouwer’s Assistant Conductor for the recording of a CD produced by Doberman which features some of her works.  She is an award-nominated composer for numerous musical, theatre, dance and film companies in Canada, France and Germany.  Nominations include the Bernard Bonnier prize (theatre music) and the Gala des Masques.

In 2009, Katia was commissioned to compose the music for a permanent multimedia exhibit at the Burj-Dubaï Tower in Dubai, the highest structure in the world. She is the Artistic Director/Composer for the ensemble OktoEcho which specialises in mixed music of Middle-Eastern and Western roots.

PRESSE

« …Katia Makdissi-Warren, compositrice aguerrie. Les compositions, bercées par les cordes et le piano, ont sûrement contribuée elles aussi aux yeux mouillés croisés à la sortie du spectacle. »

(Martine Côté, Le Devoir, novembre 2008)

«Un mariage réussi! L’atmosphère était ancrée dans le mystère et l’envoûtement. [...] La direction de l’orchestre, assumée maintenant par Katia Makdissi-Warren, fut limpide et efficace, donnant tout le loisir à la “maline” de respirer dans une zone de confort dépourvue d’ambiguïté, pour une relecture efficace et inspirée.»

(Antoine Léveillé, Voir Québec, mars 2008)

«Mélange de sensualité et de densité [...] Le mariage entre les mondes est magnifiquement consommé».

(Yves Bernard, Le Devoir, juin 2009)

« La musique des sœurs Makdissi-Warren, en particulier les airs au lyrisme espérant de l’après-tuerie, apportent une touche inspirée à cette entreprise de refondation de la vie sur des ténèbres.»

(Jean St-Hilaire, Le Soleil, jeudi 15 février 2007)

«L’environnement sonore de Katia Makdissi-Warren, interprété par Isabelle Fortier, ajoute une couleur savoureuse et juste à la tragédie.»

(Serge Drouin, Journal de Québec, le 29 janvier 2007)

« …Marie-Josée Bastien fait appel à de remarquables concepteurs pour l’épauler. On pense notamment aux sœurs Makdissi-Warren, qui signent une musique sensible. »

(Patrick Caux, Le Devoir, samedi 11 novembre 2006)

jeudi 13 décembre 2012

Vertige Graffik by Open Art & Kif Kif International


Du 10 au 15 décembre 2012, Tunis sera prise de vertige…
C'est un évènement culturel international sans précédent qui se tiendra à Tunis du 10 au 15 Décembre 2012.

Après un "Meeting Graffiti" couronné de succès en Mars 2012, Graff et Street Art seront à nouveau à l'honneur de manière spectaculaire dans un des lieux les plus fréquentés de la capitale tunisienne, sous l'intitulé "Vertige Graffik".

A l'initiative de deux associations , l'une française à vocation internationale (KIF KIF INTERNATIONAL) , l'autre tunisienne (OPEN ART TUNISIA), à proximité de l'avenue Bourguiba et de la Gare TGM, sur les façades et aux alentours de l'immeuble désaffecté de la STAM des performances graffiques, visuelles et sonores seront réalisées par des artistes tunisiens et français pendant une semaine , jour et nuit.

Attachées l’une et l’autre à la promotion des cultures nouvelles, à la fraternité, aux échanges entre artistes par de-là les frontières, elles sont donc fières d’annoncer le programme de « VERTIGE GRAFFIK » qu’elles ont mitonné ensemble depuis plusieurs mois.

Du 10 au 15 Décembre : 1er vertige :
**
« Graff en live »
[De 9H00 à 17H00]

SK ONE - VA JO - KIM MKT - MILOW – NESS + PEST -DUME - STEZO (membres du collectif de graffeurs français « P19 ») exploseront les formes et les couleurs sur les 500 m2 de façades de l’immeuble désaffecté de la STAM et les murs avoisinants.


Le 14 Décembre, 3ème vertige : 2 soirée en 1

**« Gultrah Sound System »
[De 15H00 à 17H00]

Le groupe culte de la scène musicale alternative tunisienne sera de retour pour un concert en plein air avec ses « good vibrations ».

**"Let's vjing"
[De 18H à 20H00]
Boomj, Hayej – Chenz – Mogli – Nire , proposeront leurs éclairs sonores et leurs créations vidéo sur la façade de l’immeuble de la STAM.


**Chaque nuit du 10 au 15 Décembre, 4ème vertige : « La veilleuse géante »

L’immeuble de la STAM va se transformer en phare multicolore magique et illuminera la nuit et la vie grâce au talent de la jeune scénographe Manel Ladhibi.

Cette manifestation marquera les débuts de l’association OPEN ART TUNISIA qui se propose de mettre en évidence les jeunes artistes et créateurs tunisiens en devenir et de leur apporter un soutien concret.
Elle démontrera aussi que le mélange des cultures, la collaboration entre talents venus de l’autre côté de la Méditerranée est un atout et une richesse pour la Tunisie nouvelle, sa jeunesse comme elle l’est pour ses amis de KIF KIF INTERNATIONAL qui fait avec cet évènement la preuve qu’un partenariat concret, intelligent, respectueux des personnes et des idées est possible.

Du 10 au 15 décembre à Tunis, la création, la culture et l’amitié seront au rendez-vous. Une excellente manière de terminer l’année en beauté.

Bienvenue à toutes et tous !

mercredi 5 décembre 2012

Journées du Cinéma Européen dans leur 19ème session

“La 19ème session des Journées du Cinéma Européen (JCE) s'est ouverte, mardi soir, à la salle le Colisée à Tunis, par la projection du film italien ''Una Sconfinata Giovinezza'' (Une jeunesse infinie) du réalisateur Pupi Avati. Un film qui réunit les acteurs Fabrizio Bentivoglio, Francesca Neri et Serena Grandi. ''Une jeunesse infinie'', du genre drame, est un long métrage (1h38mn), produit en 2011. Connu pour ses œuvres nostalgiques, Pupi Avati, réalisateur, scénariste et producteur bolognais a choisi dans son dernier film de consigner ses propres souvenirs, dont la mort de ses parents dans un accident de la route, dans une histoire à la fois douloureuse et sereine où la maladie d'Alzheimer est largement présente.
 Francesca, la cinquantaine, est mariée avec Lino Settembre, un journaliste sportif, chroniqueur d'une émission sportive sur une chaîne de télé nationale. Soudainement, les symptômes de la souffrance de l'oubli surgissent Chez Lino. Au cours d'une émission, il reste bloqué, comme si tout à coup il était ailleurs. Un neurologue le rassure: ce sont uniquement des signes de stress. Discrètement, il informe sa femme Francesca que son mari est atteint de la maladie d'Alzheimer. ''Une jeunesse infinie'' est un récit émouvant sur une histoire subjective à travers laquelle Pupi Avati fait recours au cinéma du vécu, avec une mise en scène réussie au niveau de l'image et du son.
 Pour les cinéphiles qui ont raté ce premier rendez-vous des JCE 2012, ils pourront voir plusieurs autres oeuvres cinématographiques de différents pays européens et maghrébins, programmées dans huit villes tunisiennes: Tunis (27 novembre-8 décembre), Sousse (28 novembre-7 décembre),Kairouan (29 novembre-8 décembre), Monastir (30 novembre-9 décembre), Sfax (1er au 12 décembre), Gabès (4-12 décembre), Gafsa (5-14 décembre) et le Kef (6-15 décembre). ”

jeudi 8 novembre 2012

Les JCC 2012 au coeur du moment historique


Les Journées Cinématographiques de Carthage reviennent dans leur 24ème session, du 16 au 24 Novembre 2012. 


Cette session des JCC 2012 est la première après les grands évènements qui ont bouleversé la Tunisie et le monde arabe depuis le 14 janvier 2011 et cette occasion de rupture est en fait une possibilité de renouveau tout en étant fidèle à l’esprit pionnier des débuts. 


"Quelle vision, quelles propositions nouvelles, quelles perspectives d’avenir à proposer en réponse aux nombreuses et légitimes attentes du public. Comment surtout répondre aux attentes d’une jeunesse tunisienne qui a semé dans le monde entier des concepts de liberté, de justice et de dignité?
Un festival de cinéma, c’est d’abord des films. Une moisson de films venus du monde entier, offerts au plaisir du plus grand nombre. C’est aussi l’occasion de vivre et d’expérimenter des découvertes, des rencontres, des débats sur des sujets d’actualité et des projets qui se réalisent. Ambitieuse, cohérente, éclectique et de nature à satisfaire les plus exigeants, la programmation promet de belles et stimulantes surprises ! 
Une chose est sure : La jeunesse sera au cœur de l’édition et c’est elle qui en donnera le La ! "



Le site lapresse.tn a publié la liste des films qui seront en compétition dans les catégories courts métrages et documentaires.
Cette liste compte 23 films courts retenus représentant 16 pays arabes et africains (Tunisie, Algérie, Burkina Faso, Bahrein, Cameroun, Djibouti, Emirats arabes Unis, Egypte, Irak, Jordanie, Koweït, Liban, Maroc, Palestine, Rwanda et Syrie), et 18 documentaires, en provenance de 12 pays arabes et africains (Tunisie, Algérie, Burkina Faso, Egypte, Gabon, Jordanie, Liban, Mali, Palestine, Sénégal, Syrie et Togo).
Compétition internationale courts-métrages

Algérie : «Le hublot», d’Anis Djaad
Bahreïn : «Huna London», de Mohamed Rached Abou Ali
Bukina Faso : «L’or blanc», d’Adama Sallé
Cameroun : «Tu seras mon allié», de Rosine Mfetgo Mbakam
Djibouti : «Laan», de Lula Ali Ismail
Egypte : «Fais comme tu as dit», de Mark Lotfy « Amal Donkol», de Mustapha Mahfouz
Emirats Arabes Unis : «Soul, âme», de Fatima Abdallah
Irak : «Gilgamesh et les trois planètes», de Mohammad Tawfik
Jordanie : «L’obscurité à l’extérieur», de Darin J.Sallam « La dernière heure « de Roua Azaoui
Koweït : «Essalihia», de Sadek Bahbahi, «Ma patrie, Mawtini», de Abd Al Muhsen Tammar
Liban : «Taleta, mardi», de Sabine El Chamaâ
Maroc : «Chuchottements à un ange qui passe», de Fouad Souiba «Courte vie», d’Adil El Fadili
Palestine : «Goutte», de Mohammad Bakri
Rwanda : «Lyzia : Marie « de Clementine Dusabejambo
Syrie : «En dehors de l’alphabet», de Rula Kayal, «Vents précoces de décembre», de Khedr Ahmad
Tunisie : «Bousculades, 9 avril 1938», de Sawssen Saya et Tarak Khaladi : «Sabbat al Aïd», d’Anis Lassoued, «La nuit de Badr», de Mahdi Hmili.
Compétition internationale documentaires
Algérie : «Bouts de vie, bouts de rêves», de Hamid Benamra «Demande à ton ombre», de Lamine Ammar
Burkina Faso : «Espoir-voyages», de Michel K.Zongo
Egypte : «Le paradis d’Ali», de Viola Shafik, «La vierge, les Coptes et moi», de Namir Abdel Messeeh
Gabon «Le maréchalat du roi Dieu», de Yveline Nathalie Pontalier
Jordanie : «L’oncle Nashat», d’Aseel Masnour
Liban : «Yamo», de Rami El Nihawi «It’s all in Lebanon», de Wissam Charaf.
Mali : «Korafola, joueuse de kora», de Mamadou Cisse
Palestine : «Le monde n’est pas à nous», de Mehdi Fleifel
Sénégal : «La vie n’est pas immobile», d’Alassane Diago, «Le président Dia», d’Ousmane William Mbaye
Syrie : «Aydyl», de Ziad Kalthoum
Togo : «Atlantic produce», de Penda Houzganbe et Jean-Gabriel Tregoat
Tunisie : «Nous sommes ici», de Abdallah Yahya «1,2,3… 456», de Bilel Bali, «Waya rayé», d’Issam Saïdi.

mardi 30 octobre 2012

Babylone en avant-première à MadArt




SYNOPSIS:

Sur un territoire vierge en pleine nature, des populations arrivent. Rapidement, une ville se construit de nulle part. Peuplée de plusieurs nationalités, ses habitants parlent des langues différentes. Cette nouvelle Babylone entourée d’arbres et d’animaux, prend rapidement la forme d’une cité à la fois ordinaire et singulière…

SORTIE EN SALLE: 1er novembre 2012 (l'avant-première à la salle de MadArt Carthage 18H)

Le Mondial (Tunis) : 14h – 16h30 – 19h (Infos : 26 80 38 03)

Amilcar (Le Manar I) : 15h – 18h – 20h30 (Infos : 26 80 38 03)

CinéMadArt (Carthage) : 18h30 – 21h (Infos : 98 70 08 65) 
Grand Prix - Festival International de Cinéma FIDMarseille 2012
 
Prix des Universités - Festival International de Cinéma DocLisboa 2012

http://www.doclisboa.org/2012/en/edicao/premiados/

FICHE TECHNIQUE :-Durée : 119'.
-Société de production : Exit Productions (exitprod.com). 
-Pays et année de production : Tunisie 2012.
-Support de projection : Blu Ray.

EQUIPE TECHNIQUE :-Image, son et réalisation : ismaël, Youssef Chebbi et Ala Eddine Slim.
-Montage image : ismaël et Ala Eddine Slim.
-Montage son et mixage audio : Yazid Chebbi. 
-Etalonnage image : Fakhreddine Amri.
-Directeur de production : Chawki Knis.
-Produit par : Chawki Knis, Ali Hassouna et Ala Eddine Slim.

jeudi 25 octobre 2012

TUNIS MIX LE 28 OCTOBRE 2012






 les Mix Bros invitent la nouvelle scène musicale tunisienne à partager la scène du Divan du Monde avec des artistes de France et du Mali. Une réponse solidaire et créative aux menaces et agressions dont sont victimes les artistes depuis les "printemps arabes".
Au programme de 19h à minuit : projection d'extraits de Tunis Mix, expo du street-artiste Zed, concert/création avec Smadj, Nawel, Badiaa, Mounir Troudi, Cheick Tidiane Seck, Gabriel Cazes, Haider Hamdi.
http://tunismix.tv/revolutionculturelle/